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5 bonnes raisons d’allonger votre séjour à la montagne en été

5 bonnes raisons d’allonger votre séjour à la montagne en été

07 mars 2024
Partir souvent… ou partir longtemps ? Les deux écoles s’opposent des arguments contradictoires depuis que les congés payés existent. En ce qui nous concerne, nous ne voyons que des avantages au fait de partir deux ou trois semaines au lieu d’une seule : meilleure déconnexion, programme d’activités enrichi, tarifs préférentiels sur votre hébergement… et même le temps de ne rien faire ! Voici donc 5 bonnes raisons d’allonger, vous aussi, votre séjour à la montagne cet été.

1. C’est prouvé : les longs séjours permettent de mieux déconnecter du travail

 
Avez-vous déjà tapé dans un moteur de recherche la requête suivante : « durée idéale des vacances pour se reposer » ? Nous l’avons fait, et les résultats sont sans appel.
 
Selon une étude néerlandaise menée en 2012 (et régulièrement citée depuis par les médias à l’approche de l’été), le « pic de bien-être » se situerait au 8ème jour de vacances, et commencerait à s’estomper vers le 11ème jour.
 
D’autres experts s’accordent à dire que deux semaines sont nécessaires pour vraiment déconnecter du travail ; la première semaine servant de « sas de décompression », afin que vous puissiez profiter au maximum de votre deuxième semaine pour vous reposer et recharger vos batteries.
 
Vous pouvez vous permettre de prendre une semaine complémentaire ? Parfait : c’est souvent durant cette troisième semaine que viennent les réflexions sur la rentrée (nouvelles idées, nouvelles envies professionnelles, nouveau regard sur des habitudes ancrées…). Et que l’excitation de la nouveauté et des changements à venir prend le pas sur la réticence à replonger dans ses dossiers.
 
En bref : une semaine de vacances, c’est bien trop court… Laissez-vous le temps d’oublier quel jour nous sommes (et le mot de passe de votre session Windows sur votre ordinateur professionnel). Votre cerveau reposé vous le rendra au centuple.

2. Oubliez votre tendance « FOMO » avec des séjours de deux ou trois semaines

 
Faites-vous partie de ces personnes qui font preuve d’un léger excès d’optimisme au moment de préparer les vacances, et qui se retrouvent avec une liste d’activités longue comme le bras à faire rentrer au chausse-pied dans une trop petite semaine ?
 
Vous souffrez certainement de FOMO, la fameuse « Fear Of Missing Out » (« peur de manquer quelque chose », en bon français). Quel dommage pourtant de devoir renoncer à votre enthousiasme pour une sombre histoire de journées trop courtes…
 
Prolongez donc votre séjour ! Vous n’aurez plus à choisir entre une randonnée vue lac ou une randonnée vue glaciers ; entre une partie de pêche et une via ferrata ; entre une après-midi au golf ou au spa ; entre une virée en Italie ou une descente en rafting. Vous pourrez tout faire (et il y en a, des choses à faire, à La Plagne, La Rosière et Tignes).
 
Vous aurez même le temps de ne rien faire. C’est dire !

3. Plus besoin de choisir entre quantité et qualité lorsque les vacances se prolongent

 
Les courts-séjours imposent souvent de devoir choisir entre : faire peu de choses, mais bien ; ou faire plein de choses, mais mal. En prolongeant votre séjour à la montagne (par exemple : deux semaines de vacances au lieu d’une), vous n’aurez plus à faire ce choix draconien !
 
Vos randonnées ne seront plus envoyées au pas de course, sous prétexte que vous avez réservé une autre activité dans l’après-midi, un massage en fin de journée, puis une soirée raclette dans ce restaurant qui n’avait plus de place qu’au premier service. Vite, vite, pas de temps à perdre !
 
Partir longtemps (deux ou trois semaines) permet de prendre son temps, de se laisser surprendre, de profiter de l’inattendu. D’absorber ces petits détails qui nous échappent quand on est pressés. De bien faire les choses. De bien faire plein de choses.

4. Découvrez le luxe de ne pas (trop) regarder votre montre

 
Les courts-séjours demandent une organisation millimétrée. Vous devez impérativement réserver toutes vos activités à l’avance, y compris une table dans votre restaurant préféré, sous peine que le moment tant attendu ne vous passe sous le nez. Tout ceci implique de regarder votre montre à longueur de journée (et même de mettre le réveil le matin… Sacrilège en vacances !).
 
Partir deux ou trois semaines vous offre plus de sérénité et de flexibilité. Vous avez le temps de rencontrer les prestataires d’activités et de réserver pour plus tard. De flâner, comparer les cartes des restaurants, et vous laisser tenter par ce plat si appétissant qui vient d’être servi devant vous en terrasse. De reporter telle longue randonnée à demain ou après-demain, quand la probabilité d’orages de fin de journée sera devenue nulle.
 
En d’autres termes : de prendre votre temps, et de n’utiliser votre montre (connectée) que pour céder à votre penchant pour les statistiques (quel dénivelé cumulé ? Quelle distance parcourue ?).

5. Faites des économies en allongeant vos séjours à la montagne

 
Deux des postes de dépenses les plus importants quand on part en vacances sont : le transport, et l’hébergement. Multiplier les courts-séjours, c’est multiplier les trajets (donc les billets de train, les pleins d’essence etc.). Mais c’est aussi se priver des offres dégressives proposées par certains hébergeurs.
 
Chez Altitude Résidences, par exemple, nous appliquons une réduction de -10% sur les séjours estivaux de deux semaines, et -20% sur les séjours de trois semaines. Ceci dans toutes nos résidences : Chalet Hôtel Turquoise à Belle Plagne, Lodge des Glaciers à La Rosière, Chalet Hôtel Quartz à Tignes (ouverture : décembre 2024).
 
Partir plus longtemps, c’est accéder à un hébergement plus grand, plus confortable, mieux équipé, et proposant plus de services, pour le même prix que plusieurs petits appartements réservés sur quelques jours seulement.
 
Auteur : Amandine Renevot (Copywriter)

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