4. Découvrez le luxe de ne pas (trop) regarder votre montre
Les courts-séjours demandent une organisation millimétrée. Vous devez impérativement réserver toutes vos activités à l’avance, y compris une table dans votre restaurant préféré, sous peine que le moment tant attendu ne vous passe sous le nez. Tout ceci implique de regarder votre montre à longueur de journée (et même de mettre le réveil le matin… Sacrilège en vacances !).
Partir deux ou trois semaines vous offre plus de sérénité et de flexibilité. Vous avez le temps de rencontrer les
prestataires d’activités et de réserver pour plus tard. De flâner, comparer les cartes des restaurants, et vous laisser tenter par ce plat si appétissant qui vient d’être servi devant vous en terrasse. De reporter telle longue randonnée à demain ou après-demain, quand la probabilité d’orages de fin de journée sera devenue nulle.
En d’autres termes : de prendre votre temps, et de n’utiliser votre montre (connectée) que pour céder à votre penchant pour les statistiques (quel dénivelé cumulé ? Quelle distance parcourue ?).